diegel
2009-12-05 22:40:32 UTC
D'Alain Badiou, j'en ai lu - Le siècle.
« [Blabla] ... cette ruine de la langue, le mépris pour toute nomination
inventive et rigoureuse, le règne de la langue facile et corrompue, celle du
journalisme. »
Jean-Edern Hallier parlait souvent de sous-culture journalistique.
A laquelle on doit fortement ajouter la sous-culture d'entreprise.
Il arrive à Badiou de dire des choses intelligentes, ce qui le rend
éminemment supérieur à un Finkielkraut.
Comment une émotion s'est imprégnée des odeurs, des sensations et des
couleurs de ses instants, comment de ces couleurs, de ces sensations et de
ces odeurs resurgit cette émotion.
Voyage au Congo - André Gide : http://fr.wikipedia.org/wiki/Voyage_au_Congo.
La réaction outrée de la Droite, celle qui voulait, il y a peu, toujours
aussi indécrottable stupide, imposer aux esprits, par la loi !, la
"colonisation positive".
Chansons madécasses - Maurice Ravel :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Chansons_mad%C3%A9casses. Je ne sais pas
encore, ça télécharge.
Il refusa la légion d'honneur.
Une légion d'honneur pour tous les braves qui refusent la légion d'honneur ?
« Mandelstam est aujourdhui est reconnu comme un des plus grands poètes du
siècle. », matraque Badiou. Mais ... reconnu par qui, au faît ? Quel
cachottier, ce Badiou !
Alain Badiou réinvente du diegel, son bouquin sur l'amour, c'est bien, je ne
l'ai pas lu, j'admets, le compliment me dispensera de le lire.
diegel a considéré que le mariage est ce qu'un amour assure comme
affirmation de développement durable.
Une vile populasse s'interroge, se rassure au divorce-minute, se pacse.
J'invite, pour ne pas me radoter davantage, à vous instruire
quelque part sur ce thème dans les diegeliennes archives.
Je regarde - Monsieur Jo.
Espérons que le Nagui de France 2 ne nous menace pas encore de montrer sa
bite pendant le téléthon !
J'ai l'impression que ce livre va briller pour ses références plutôt que par
ses développements.
J'écoute Helmut Fritz, je gère les attaques en mauvais goût qui m'assaille.
Il n'y a pas assez de musulmans en France. C'est la raison pour laquelle il
a paru souhaitable de financer des radios musulmanes avec le denier public,
il s'agit de la radio France-Maghreb qui incite régulièrement à la
bouffissure religieuse, plus sûrement encore que France-Culture qui dit la
messe tous les dimanches !
Claudel, ce crétin considéré, anti-humaniste. C'est fou le nombre
d'imbéciles qui ont engouffrés leur talent dans la haine de l'humanité .
Mais y avait t-il meilleur moyen pour eux de se montrer supérieur aux autres
que celui qui consiste à pisser sur l'altérité, la fraternité et le progrès
des âmes quitte à se montrer aussi misérable, voire plus misérable, qu'une
masse enlaidie ?
Là où Badiou enfonce des évidences, bonnes à diffuser, c'est quand il dit ce
que les pays riches pourraient, très facilement, abolir la pauvreté dans les
pays de misère. Le discours sur les gens qui crèvent de fin, de maladie et
rampent dans la pauvreté n'a plus cours depuis que les crisounettes des
gros-pleins-de-soupes occidentaux leur ont fait passé l'envie d'aider le
tiers-monde, jusqu'à sortir ce vocable de leur vocabulaire, mais à la plus
grande satisfaction des abbés verts, qui ont raflés tout le marché de l'inquiétude.
L'Occident est un monstre d'égoïsme, le seul exemple de lui qu'il faut
assurément ne pas suivre.
Badiou patauge lamentablement dans son Nietzsche, son Heidegger et son
Deleuze, Brecht et toute une collection d'énergumènes choisie dans la
volière du XX ième siècle, énergumènes dont il n'a pas encore compris l'irrationalité,
l'effondrement rationnel, disons la crétinerie pour ne pas être excessif.
Badiou, contrairement aux airs qu'il se donne, est un type du réchauffé, du
resucée, un prétentieux formaté aux pensouillages académisés. Franchement,
ne pas voir plus loin, mais surtout autrement que ces philosophards
sus-cités relève de la finkielkrauterie béhachélisée !
Franchement, pour moi, un juif est un type en état de communautarisme
historico-religieux, tout simplement, tout minablement. Je me demande
vraiment comment on a pu en arriver là, faire de la judéité, un concept, de
l'antisémitisme, le mal absolu.
Tous ces nuls, dont Nietzsche, et donc Badiou, son toutou ?, n'ont jamais
compris l'importance gigantesque de l'éducation des esprits. Je n'ai jamais
entendu parler d'une guerre pour l'éducation. Une guerre qui pourrait bien
être la dernière, n'est-oui ? La Révolution, c'est l'Education !
En quoi la morale a quelque chose à voir avec le religieux ? Toute la
pensée du XX ième siècle, dans cette incapacité à rationaliser la morale, a
préféré jeter la morale avec la vinasse du bénitier. Même Auschwitz n'a pu
mettre un terme à la mode de l'amoralité qui se prolonge jusqu'à aujourdhui
jusqu'à donner à certains esprits fragilisés l'idée d'un retour providentiel
à la morale religieuse, pour en avoir ne serait-ce qu'une. On en déduit qu'on
attend le génie qui saura rationaliser la morale, laquelle morale n'a jamais
cru en la réalité physique et théorique de l'amoralité.
La discipline fait la force principale des armées et l'incompétence son plus
grand secret.
« Comment le siècle a t-il réorganisé les trois grands signifiants de la
Révolution française : liberté, égalité, fraternité ? La thèse aujourd'hui
dominante, sous le nom imposé de « démocratie », est que la seule chose qui
compte est la liberté. Liberté, du reste, si affectée par le mépris où sont
tenus les deux autres vocables (l'égalité est utopique et anti-naturelle, la
fraternité mène au despotisme du « nous ») qu'elle devient purement
juridique, ou régulatrice : « liberté » de faire tous les mêmes choses, sous
les mêmes règles. » Je dis : affirmatif. Il arrive à Badiou de dire des
choses intéressantes, assez par hasard d'ailleurs, ce qui le rend très
supérieur à un Lévy, beaucoup moins chanceux.
Mao, Machin, blabla ...
Brecht - scène 6 de La Décision, si j'ai le temps, gratos, dans une
librairie.
Anton Webern, je télécharge.
Nietzsche prétendait avoir tué dieu, ce que Badiou, gonflant le torse, lui
ergote. Car Badiou, lui, affirme avoir tué l'homme, avoir terminé le boulot
de son très cher incompétent ! Ainsi la philosophie semble être une drôle de
ménagerie . Admis aussi en ménagerie, Sartre, avec son « L'homme est une
passion inutile ».
L'avenir radieux doit extirper de son sein les communistes nihilistes, ces
infectes pourritures de l'esprit !
« Si même je dois scandaliser, je dois dire ma conviction que cette
domestication, sous-jacente à l'humanisme sans programme qu'on nous inflige,
est déjà à l'ouvre dans la promotion, comme spectacle et comme norme, du
corps victimaire. » Hein ? L'intuition humaniste serait mauvaise et la
théorie humaniste, bonne ? Il est abruti ou quoi, Badiou ? Et qu'attend
t-il, le Badiou, pour nous pondre une théorie humaniste ? Parce qu'avec son
L'Etre et l'Evènement, une sartrose de plus dans l'être et le néant
ontologiques, oui ?
Un nazillon et un nazi occupe la scène philosophique mondiale, Nietzsche et
Heidegger . Tous les philosophards, tous les enseignants sont à la brosse à
reluire, tous les commentent, tous s'y ridiculisent, la majorité, puisque la
Droite, elle, ne pense pas, sont de Gauche !
Quoi Sartre et Foucault ? Zen avez pas marre de puiser toujours dans les
mêmes puits sans - fond ?
Ah, l'Althusser, ce dingue assassin normal supérieur, il ne manquait plus
que lui, vaut mieux en rire ...
« Pourquoi nous ne sommes pas nietzschéens ? » N'empêche, j'ai la réponse,
contrairement à Badiou et à Finkielkraut ou autres Sollers, j'ai osé publier
le florilège des énormités de Nitche et proposer qu'on l'admette au
patrimoine mondial de la bêtise.
Badiou frémit d'horreur à un « humanisme animal où l'homme n'existerait que
comme digne de pitié » !
Quel crétin, ce Badiou ! Et qu'est-ce qu'il a contre la pitié, le concept
de - pitié, alors qu'il ne sait comment esquisser l'homme digne d'admiration
?
C'est le même type qui pleurnichait, certes furtivement, voir ci-avant, sur
les énormes disparités entre pays riches et pauvres ...
Bordel de ton esprit, vieux Badiou, rien d'autres à penser que l'humanisme
en tant qu'humanisme animal, qu'à part cela je n'ai rien d'autres à vous
présenter ? A la curée contre l'humanisme et les droits de l'homme, les
infâmes finitudes, les dégradantes répétitions, tu suces du Zemmour ou quoi,
Badiou le communiste sorbonnard ?
Alors, mon conseil, laisse tomber ton "in-humanisme". Tu n'as aucunement
l'étoffe d'un philosophe, et comme tu en es réduit à finkielkrauter du
nitche, à finkielkrauter de l'actu, le mieux serait que tu la fermes dans
une retraite peu méritée d'ailleurs.
C'est comme ça et pas autrement.
Décidément, nous ne lirons plus que du diegel.
« [Blabla] ... cette ruine de la langue, le mépris pour toute nomination
inventive et rigoureuse, le règne de la langue facile et corrompue, celle du
journalisme. »
Jean-Edern Hallier parlait souvent de sous-culture journalistique.
A laquelle on doit fortement ajouter la sous-culture d'entreprise.
Il arrive à Badiou de dire des choses intelligentes, ce qui le rend
éminemment supérieur à un Finkielkraut.
Comment une émotion s'est imprégnée des odeurs, des sensations et des
couleurs de ses instants, comment de ces couleurs, de ces sensations et de
ces odeurs resurgit cette émotion.
Voyage au Congo - André Gide : http://fr.wikipedia.org/wiki/Voyage_au_Congo.
La réaction outrée de la Droite, celle qui voulait, il y a peu, toujours
aussi indécrottable stupide, imposer aux esprits, par la loi !, la
"colonisation positive".
Chansons madécasses - Maurice Ravel :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Chansons_mad%C3%A9casses. Je ne sais pas
encore, ça télécharge.
Il refusa la légion d'honneur.
Une légion d'honneur pour tous les braves qui refusent la légion d'honneur ?
« Mandelstam est aujourdhui est reconnu comme un des plus grands poètes du
siècle. », matraque Badiou. Mais ... reconnu par qui, au faît ? Quel
cachottier, ce Badiou !
Alain Badiou réinvente du diegel, son bouquin sur l'amour, c'est bien, je ne
l'ai pas lu, j'admets, le compliment me dispensera de le lire.
diegel a considéré que le mariage est ce qu'un amour assure comme
affirmation de développement durable.
Une vile populasse s'interroge, se rassure au divorce-minute, se pacse.
J'invite, pour ne pas me radoter davantage, à vous instruire
quelque part sur ce thème dans les diegeliennes archives.
Je regarde - Monsieur Jo.
Espérons que le Nagui de France 2 ne nous menace pas encore de montrer sa
bite pendant le téléthon !
J'ai l'impression que ce livre va briller pour ses références plutôt que par
ses développements.
J'écoute Helmut Fritz, je gère les attaques en mauvais goût qui m'assaille.
Il n'y a pas assez de musulmans en France. C'est la raison pour laquelle il
a paru souhaitable de financer des radios musulmanes avec le denier public,
il s'agit de la radio France-Maghreb qui incite régulièrement à la
bouffissure religieuse, plus sûrement encore que France-Culture qui dit la
messe tous les dimanches !
Claudel, ce crétin considéré, anti-humaniste. C'est fou le nombre
d'imbéciles qui ont engouffrés leur talent dans la haine de l'humanité .
Mais y avait t-il meilleur moyen pour eux de se montrer supérieur aux autres
que celui qui consiste à pisser sur l'altérité, la fraternité et le progrès
des âmes quitte à se montrer aussi misérable, voire plus misérable, qu'une
masse enlaidie ?
Là où Badiou enfonce des évidences, bonnes à diffuser, c'est quand il dit ce
que les pays riches pourraient, très facilement, abolir la pauvreté dans les
pays de misère. Le discours sur les gens qui crèvent de fin, de maladie et
rampent dans la pauvreté n'a plus cours depuis que les crisounettes des
gros-pleins-de-soupes occidentaux leur ont fait passé l'envie d'aider le
tiers-monde, jusqu'à sortir ce vocable de leur vocabulaire, mais à la plus
grande satisfaction des abbés verts, qui ont raflés tout le marché de l'inquiétude.
L'Occident est un monstre d'égoïsme, le seul exemple de lui qu'il faut
assurément ne pas suivre.
Badiou patauge lamentablement dans son Nietzsche, son Heidegger et son
Deleuze, Brecht et toute une collection d'énergumènes choisie dans la
volière du XX ième siècle, énergumènes dont il n'a pas encore compris l'irrationalité,
l'effondrement rationnel, disons la crétinerie pour ne pas être excessif.
Badiou, contrairement aux airs qu'il se donne, est un type du réchauffé, du
resucée, un prétentieux formaté aux pensouillages académisés. Franchement,
ne pas voir plus loin, mais surtout autrement que ces philosophards
sus-cités relève de la finkielkrauterie béhachélisée !
Franchement, pour moi, un juif est un type en état de communautarisme
historico-religieux, tout simplement, tout minablement. Je me demande
vraiment comment on a pu en arriver là, faire de la judéité, un concept, de
l'antisémitisme, le mal absolu.
Tous ces nuls, dont Nietzsche, et donc Badiou, son toutou ?, n'ont jamais
compris l'importance gigantesque de l'éducation des esprits. Je n'ai jamais
entendu parler d'une guerre pour l'éducation. Une guerre qui pourrait bien
être la dernière, n'est-oui ? La Révolution, c'est l'Education !
En quoi la morale a quelque chose à voir avec le religieux ? Toute la
pensée du XX ième siècle, dans cette incapacité à rationaliser la morale, a
préféré jeter la morale avec la vinasse du bénitier. Même Auschwitz n'a pu
mettre un terme à la mode de l'amoralité qui se prolonge jusqu'à aujourdhui
jusqu'à donner à certains esprits fragilisés l'idée d'un retour providentiel
à la morale religieuse, pour en avoir ne serait-ce qu'une. On en déduit qu'on
attend le génie qui saura rationaliser la morale, laquelle morale n'a jamais
cru en la réalité physique et théorique de l'amoralité.
La discipline fait la force principale des armées et l'incompétence son plus
grand secret.
« Comment le siècle a t-il réorganisé les trois grands signifiants de la
Révolution française : liberté, égalité, fraternité ? La thèse aujourd'hui
dominante, sous le nom imposé de « démocratie », est que la seule chose qui
compte est la liberté. Liberté, du reste, si affectée par le mépris où sont
tenus les deux autres vocables (l'égalité est utopique et anti-naturelle, la
fraternité mène au despotisme du « nous ») qu'elle devient purement
juridique, ou régulatrice : « liberté » de faire tous les mêmes choses, sous
les mêmes règles. » Je dis : affirmatif. Il arrive à Badiou de dire des
choses intéressantes, assez par hasard d'ailleurs, ce qui le rend très
supérieur à un Lévy, beaucoup moins chanceux.
Mao, Machin, blabla ...
Brecht - scène 6 de La Décision, si j'ai le temps, gratos, dans une
librairie.
Anton Webern, je télécharge.
Nietzsche prétendait avoir tué dieu, ce que Badiou, gonflant le torse, lui
ergote. Car Badiou, lui, affirme avoir tué l'homme, avoir terminé le boulot
de son très cher incompétent ! Ainsi la philosophie semble être une drôle de
ménagerie . Admis aussi en ménagerie, Sartre, avec son « L'homme est une
passion inutile ».
L'avenir radieux doit extirper de son sein les communistes nihilistes, ces
infectes pourritures de l'esprit !
« Si même je dois scandaliser, je dois dire ma conviction que cette
domestication, sous-jacente à l'humanisme sans programme qu'on nous inflige,
est déjà à l'ouvre dans la promotion, comme spectacle et comme norme, du
corps victimaire. » Hein ? L'intuition humaniste serait mauvaise et la
théorie humaniste, bonne ? Il est abruti ou quoi, Badiou ? Et qu'attend
t-il, le Badiou, pour nous pondre une théorie humaniste ? Parce qu'avec son
L'Etre et l'Evènement, une sartrose de plus dans l'être et le néant
ontologiques, oui ?
Un nazillon et un nazi occupe la scène philosophique mondiale, Nietzsche et
Heidegger . Tous les philosophards, tous les enseignants sont à la brosse à
reluire, tous les commentent, tous s'y ridiculisent, la majorité, puisque la
Droite, elle, ne pense pas, sont de Gauche !
Quoi Sartre et Foucault ? Zen avez pas marre de puiser toujours dans les
mêmes puits sans - fond ?
Ah, l'Althusser, ce dingue assassin normal supérieur, il ne manquait plus
que lui, vaut mieux en rire ...
« Pourquoi nous ne sommes pas nietzschéens ? » N'empêche, j'ai la réponse,
contrairement à Badiou et à Finkielkraut ou autres Sollers, j'ai osé publier
le florilège des énormités de Nitche et proposer qu'on l'admette au
patrimoine mondial de la bêtise.
Badiou frémit d'horreur à un « humanisme animal où l'homme n'existerait que
comme digne de pitié » !
Quel crétin, ce Badiou ! Et qu'est-ce qu'il a contre la pitié, le concept
de - pitié, alors qu'il ne sait comment esquisser l'homme digne d'admiration
?
C'est le même type qui pleurnichait, certes furtivement, voir ci-avant, sur
les énormes disparités entre pays riches et pauvres ...
Bordel de ton esprit, vieux Badiou, rien d'autres à penser que l'humanisme
en tant qu'humanisme animal, qu'à part cela je n'ai rien d'autres à vous
présenter ? A la curée contre l'humanisme et les droits de l'homme, les
infâmes finitudes, les dégradantes répétitions, tu suces du Zemmour ou quoi,
Badiou le communiste sorbonnard ?
Alors, mon conseil, laisse tomber ton "in-humanisme". Tu n'as aucunement
l'étoffe d'un philosophe, et comme tu en es réduit à finkielkrauter du
nitche, à finkielkrauter de l'actu, le mieux serait que tu la fermes dans
une retraite peu méritée d'ailleurs.
C'est comme ça et pas autrement.
Décidément, nous ne lirons plus que du diegel.