Discussion:
Il n'est plus question de lire Badiou
(trop ancien pour répondre)
diegel
2009-12-05 22:40:32 UTC
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D'Alain Badiou, j'en ai lu - Le siècle.

« [Blabla] ... cette ruine de la langue, le mépris pour toute nomination
inventive et rigoureuse, le règne de la langue facile et corrompue, celle du
journalisme. »
Jean-Edern Hallier parlait souvent de sous-culture journalistique.
A laquelle on doit fortement ajouter la sous-culture d'entreprise.
Il arrive à Badiou de dire des choses intelligentes, ce qui le rend
éminemment supérieur à un Finkielkraut.

Comment une émotion s'est imprégnée des odeurs, des sensations et des
couleurs de ses instants, comment de ces couleurs, de ces sensations et de
ces odeurs resurgit cette émotion.

Voyage au Congo - André Gide : http://fr.wikipedia.org/wiki/Voyage_au_Congo.
La réaction outrée de la Droite, celle qui voulait, il y a peu, toujours
aussi indécrottable stupide, imposer aux esprits, par la loi !, la
"colonisation positive".

Chansons madécasses - Maurice Ravel :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Chansons_mad%C3%A9casses. Je ne sais pas
encore, ça télécharge.
Il refusa la légion d'honneur.
Une légion d'honneur pour tous les braves qui refusent la légion d'honneur ?

« Mandelstam est aujourdhui est reconnu comme un des plus grands poètes du
siècle. », matraque Badiou. Mais ... reconnu par qui, au faît ? Quel
cachottier, ce Badiou !

Alain Badiou réinvente du diegel, son bouquin sur l'amour, c'est bien, je ne
l'ai pas lu, j'admets, le compliment me dispensera de le lire.
diegel a considéré que le mariage est ce qu'un amour assure comme
affirmation de développement durable.
Une vile populasse s'interroge, se rassure au divorce-minute, se pacse.
J'invite, pour ne pas me radoter davantage, à vous instruire
quelque part sur ce thème dans les diegeliennes archives.

Je regarde - Monsieur Jo.

Espérons que le Nagui de France 2 ne nous menace pas encore de montrer sa
bite pendant le téléthon !

J'ai l'impression que ce livre va briller pour ses références plutôt que par
ses développements.

J'écoute Helmut Fritz, je gère les attaques en mauvais goût qui m'assaille.


Il n'y a pas assez de musulmans en France. C'est la raison pour laquelle il
a paru souhaitable de financer des radios musulmanes avec le denier public,
il s'agit de la radio France-Maghreb qui incite régulièrement à la
bouffissure religieuse, plus sûrement encore que France-Culture qui dit la
messe tous les dimanches !



Claudel, ce crétin considéré, anti-humaniste. C'est fou le nombre
d'imbéciles qui ont engouffrés leur talent dans la haine de l'humanité .
Mais y avait t-il meilleur moyen pour eux de se montrer supérieur aux autres
que celui qui consiste à pisser sur l'altérité, la fraternité et le progrès
des âmes quitte à se montrer aussi misérable, voire plus misérable, qu'une
masse enlaidie ?



Là où Badiou enfonce des évidences, bonnes à diffuser, c'est quand il dit ce
que les pays riches pourraient, très facilement, abolir la pauvreté dans les
pays de misère. Le discours sur les gens qui crèvent de fin, de maladie et
rampent dans la pauvreté n'a plus cours depuis que les crisounettes des
gros-pleins-de-soupes occidentaux leur ont fait passé l'envie d'aider le
tiers-monde, jusqu'à sortir ce vocable de leur vocabulaire, mais à la plus
grande satisfaction des abbés verts, qui ont raflés tout le marché de l'inquiétude.

L'Occident est un monstre d'égoïsme, le seul exemple de lui qu'il faut
assurément ne pas suivre.



Badiou patauge lamentablement dans son Nietzsche, son Heidegger et son
Deleuze, Brecht et toute une collection d'énergumènes choisie dans la
volière du XX ième siècle, énergumènes dont il n'a pas encore compris l'irrationalité,
l'effondrement rationnel, disons la crétinerie pour ne pas être excessif.
Badiou, contrairement aux airs qu'il se donne, est un type du réchauffé, du
resucée, un prétentieux formaté aux pensouillages académisés. Franchement,
ne pas voir plus loin, mais surtout autrement que ces philosophards
sus-cités relève de la finkielkrauterie béhachélisée !



Franchement, pour moi, un juif est un type en état de communautarisme
historico-religieux, tout simplement, tout minablement. Je me demande
vraiment comment on a pu en arriver là, faire de la judéité, un concept, de
l'antisémitisme, le mal absolu.



Tous ces nuls, dont Nietzsche, et donc Badiou, son toutou ?, n'ont jamais
compris l'importance gigantesque de l'éducation des esprits. Je n'ai jamais
entendu parler d'une guerre pour l'éducation. Une guerre qui pourrait bien
être la dernière, n'est-oui ? La Révolution, c'est l'Education !



En quoi la morale a quelque chose à voir avec le religieux ? Toute la
pensée du XX ième siècle, dans cette incapacité à rationaliser la morale, a
préféré jeter la morale avec la vinasse du bénitier. Même Auschwitz n'a pu
mettre un terme à la mode de l'amoralité qui se prolonge jusqu'à aujourdhui
jusqu'à donner à certains esprits fragilisés l'idée d'un retour providentiel
à la morale religieuse, pour en avoir ne serait-ce qu'une. On en déduit qu'on
attend le génie qui saura rationaliser la morale, laquelle morale n'a jamais
cru en la réalité physique et théorique de l'amoralité.



La discipline fait la force principale des armées et l'incompétence son plus
grand secret.



« Comment le siècle a t-il réorganisé les trois grands signifiants de la
Révolution française : liberté, égalité, fraternité ? La thèse aujourd'hui
dominante, sous le nom imposé de « démocratie », est que la seule chose qui
compte est la liberté. Liberté, du reste, si affectée par le mépris où sont
tenus les deux autres vocables (l'égalité est utopique et anti-naturelle, la
fraternité mène au despotisme du « nous ») qu'elle devient purement
juridique, ou régulatrice : « liberté » de faire tous les mêmes choses, sous
les mêmes règles. » Je dis : affirmatif. Il arrive à Badiou de dire des
choses intéressantes, assez par hasard d'ailleurs, ce qui le rend très
supérieur à un Lévy, beaucoup moins chanceux.



Mao, Machin, blabla ...



Brecht - scène 6 de La Décision, si j'ai le temps, gratos, dans une
librairie.



Anton Webern, je télécharge.



Nietzsche prétendait avoir tué dieu, ce que Badiou, gonflant le torse, lui
ergote. Car Badiou, lui, affirme avoir tué l'homme, avoir terminé le boulot
de son très cher incompétent ! Ainsi la philosophie semble être une drôle de
ménagerie . Admis aussi en ménagerie, Sartre, avec son « L'homme est une
passion inutile ».



L'avenir radieux doit extirper de son sein les communistes nihilistes, ces
infectes pourritures de l'esprit !



« Si même je dois scandaliser, je dois dire ma conviction que cette
domestication, sous-jacente à l'humanisme sans programme qu'on nous inflige,
est déjà à l'ouvre dans la promotion, comme spectacle et comme norme, du
corps victimaire. » Hein ? L'intuition humaniste serait mauvaise et la
théorie humaniste, bonne ? Il est abruti ou quoi, Badiou ? Et qu'attend
t-il, le Badiou, pour nous pondre une théorie humaniste ? Parce qu'avec son
L'Etre et l'Evènement, une sartrose de plus dans l'être et le néant
ontologiques, oui ?



Un nazillon et un nazi occupe la scène philosophique mondiale, Nietzsche et
Heidegger . Tous les philosophards, tous les enseignants sont à la brosse à
reluire, tous les commentent, tous s'y ridiculisent, la majorité, puisque la
Droite, elle, ne pense pas, sont de Gauche !



Quoi Sartre et Foucault ? Zen avez pas marre de puiser toujours dans les
mêmes puits sans - fond ?

Ah, l'Althusser, ce dingue assassin normal supérieur, il ne manquait plus
que lui, vaut mieux en rire ...



« Pourquoi nous ne sommes pas nietzschéens ? » N'empêche, j'ai la réponse,
contrairement à Badiou et à Finkielkraut ou autres Sollers, j'ai osé publier
le florilège des énormités de Nitche et proposer qu'on l'admette au
patrimoine mondial de la bêtise.



Badiou frémit d'horreur à un « humanisme animal où l'homme n'existerait que
comme digne de pitié » !

Quel crétin, ce Badiou ! Et qu'est-ce qu'il a contre la pitié, le concept
de - pitié, alors qu'il ne sait comment esquisser l'homme digne d'admiration
?

C'est le même type qui pleurnichait, certes furtivement, voir ci-avant, sur
les énormes disparités entre pays riches et pauvres ...



Bordel de ton esprit, vieux Badiou, rien d'autres à penser que l'humanisme
en tant qu'humanisme animal, qu'à part cela je n'ai rien d'autres à vous
présenter ? A la curée contre l'humanisme et les droits de l'homme, les
infâmes finitudes, les dégradantes répétitions, tu suces du Zemmour ou quoi,
Badiou le communiste sorbonnard ?

Alors, mon conseil, laisse tomber ton "in-humanisme". Tu n'as aucunement
l'étoffe d'un philosophe, et comme tu en es réduit à finkielkrauter du
nitche, à finkielkrauter de l'actu, le mieux serait que tu la fermes dans
une retraite peu méritée d'ailleurs.



C'est comme ça et pas autrement.



Décidément, nous ne lirons plus que du diegel.
diegel
2009-12-06 03:21:14 UTC
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A propos d'Anton Webern, ce cachottier de Badiou omet de signaler que le
plus grand musicien du vingtième, selon lui, fût "séduit", "à l'occasion",
"par dépit ou lassitude", par le "pangermanisme nazie", selon un génial
plumitif encathoché de Télérama, et ce malgré le fait, toujours de notre
pigiste, que la police culturelle nazie, qu'il critiqua un temps prudemment
écourté, considérait sa musique comme faisant partie de l'art dégénéré.
Finkielkraut a bien donné l'erreur de jeunesse à Heidegger, pourquoi alors
Badiou signalerait-il Webern comme un contemplatif nazi ...
De la Wikipédia anglaise, nettement plus prolixe que la française s'agissant
de la biographie du compositeur, je note que, d'après ses lettres à Machin,
sa ferveur patriotique le menât à considérer Hitler comme l'homme
providentiel dont l'Allemagne avait besoin. Mais je m'insurge car là on
insulte toute une intelligentsia académisée, voire sorbonnée, et tout un
peuple de petits profs entièrement dévoués à la cosmétique des tronches über
alles und allem ! Aussi dois-je n'inviter qu'à la sage et timbresque
biographie cuisinée par l'IRCAM du chiraquien Boulez.
Quant aux circonstances exactes de la mort du musicien, si vous vous sentez
le talent d'un Hercule Poirot, je vous laisse vous enfoncer dans la jungle
internet ordinaires des sur-copiés-collés, des approximations, des
tronçonnages, des collages, des omissions, des inventions et des
grévinellages : triage et façon puzzle, bon courage !

A part cela, revenons à sa musique, je l'aurais bien embauché pour sonoriser
des séries B, moi, l'Anton Webern; dommage. Allez, je suis vaguement énervé
par le Badiou, ces - Six Bagatelles pour quatuor à cordes, opus 9, se
laissent écouter. Ces réchauffés de Bach aussi, etc., mais de là à le
propulser plus grand ou l'un des plus grands, même du vingtième, pas
question.
Zarak
2009-12-06 09:20:44 UTC
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Post by diegel
Nietzsche prétendait avoir tué dieu
Comme vous ne savez pas de quoi vous parlez, je corrige au moins cette
énormité : il n'a jamais dit qu'il avait "tué Dieu" (ça, n'importe qui peut le
faire dans son coin), il a simplement fait le constat clinique de sa mort
générale. Et pour en tirer toutes les conséquences, les bonnes (la possible
avènement du surhomme - rien à voir avec le sous-singe nazi) comme les
mauvaises (l'homme faible, sans Dieu, sera capable des pires folies).

A lire, donc, "Le Gai Savoir".
diegel
2009-12-06 18:00:02 UTC
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Et dans quelle morgue aurait-il fait le constat de la mort clinique de dieu,
votre Nitche ?
Il est vrai que le sujet prête à la rigolade, le Nitche n'ayant jamais fait
montre de la moindre velléité athéiste, contrairement à Hitler.
Je le disais ci-avant, remplacer la morale religieuse, oui, mais par quoi ?
Ce pauvre Nitche s'est livré à des songeries grotesques pour esquisser une
société pré-nazie avant de rejoindre l'asile de dingue tandis que d'autres
avaient déjà inventé le socialisme, l'anarchisme, le communisme. Et
d'ailleurs, on aurait tort d'ironiser sur l'aryen germanique, grand
épurateur de l'espèce humaine, sûr de sa force, de sa pugnacité, de son
génie et gardien de sa pureté qui devait représenter la quintessence de
l'être humain, en arts, en sciences, en organisation sociale. La brutalité
de l'aryen, par ailleurs grand esthète, envers les faibles, quoi de plus
nitchéen ?, était un passage obligé pour établir le nirvana nitchéen. Les
nazis n'ont pas inventé le racisme et l'eugénisme, ils ont entériné
l'intellectualisme raciste qui faisait - rage partout, et ont eu la - force
morale - de vouloir sauver ... l'espèce humaine. Les nazis, au début de leur
aventure, n'avaient pas pour intention de détruire le juif mais simplement
de l'éloigner, à Madagascar par exemple, ce qui est très très nitchéen. A
l'époque de l'affaire Dreyfus, certains députés ne demandaient-ils pas
d'éloigner tous les juifs de Paris pour les parquer dans le Cantal où ils y
seraient moins virulents ? Dans le contexte de l'époque, l'aventure nazie
était loin d'être perçue comme une folie et nombreux furent à l'admirer, à y
trouver de la ... morale stable, durable, cohérente, purifiée de l'humanisme
... chrétien, part trop contre nature, voire bolchevique !
Bref, votre Nitche a produit le pire et il conviendrait de le jeter avec les
horreurs du nazisme.
Mais factuellement, pourquoi ? Parce que Nitche n'était pas intelligent,
rationnel, conceptuel, n'avait aucune capacité à structurer du concept. Il
s'est montré bien incapable de produire la moindre morale à même de se
substituer à la chrétienne. Le XXI ième siècle sera religieux ou ne sera
pas, Malraux, le curé prime sur le prof, Sarkozy, Nitche est un chat crevé
qui flotte à la surface de sa sottise, et il n'y aura pas un Nitche II le
retour.
De tout cela, il ne reste que Marx, on pouvait depuis des siècles s'y
attendrent, nulle surprise pour un esprit pas trop embrumé. Soit le
communisme. Soit la rationalité communiste, la morale communiste, la seule
qui annule et remplace la chrétienne. Evidemment, avec diegel. Qui a inventé
l'humanisme structuré à partir d'un montage logique de concepts affinés.
L'identité humaine est son intelligence, la rationalité; la morale, la
seule, est de rester cohérent en rationalité. L'homo intellectus, donc
communiste, donc intellectuel, intellectruel, comme je le disais parfois.
La morale est une mathématique. Une mathématique du chat échaudé, si je peux
délirer un peu, et rattacher la théorie à un simple mais salutaire réflexe.

Je n'accepte pas qu'un Badiou, communiste, le communisme est en
rationalité, léchouille la loque nietzchéenne en mendiant du théorème moral
à je-ne-sais quelle providence, et en plus, en reprenant la bouse du
sur-homme, et pire que tout, en se dégoûtant de l'intuition humaniste à
l'image d'un arriéré nazio-darwinien. Son incapacité à penser l'humanisme le
rend objectivement allié des fossoyeurs du communisme. Qu'il aille se faire
voir ailleurs avec son "in-humanisme", nullissime pétard d'un prétentieux.

Oui, car il y a du boulot, pour formaliser la morale; j'ai ouvert ce vaste
chantier.
Et dans ce chantier, je ne veux voir que de la mathématique philosophique :
définition, proposition, démonstration !

Je me félicite d'avoir été le premier, ici même, à avoir traiter Chatel Luc
de la Sarkozerie de crétin nuisible, pour son idée de virer l'histoire-géo
de la classe scientifique. Nos intellos ont été plutôt longs à la détente,
même si l'on peut reconnaître leur handicap d'avoir à traîner avec eux la
grosse nullité de Finkielkraut, ce repoussant simplet exhibé par les
odieuses journalesques.
Zarak
2009-12-06 18:12:20 UTC
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Post by diegel
Et dans quelle morgue aurait-il fait le constat de la mort clinique de dieu,
votre Nitche ?
Dans la morgue de son époque. Mais je vous concède qu'il n'avait pas prévu
que son constat ne serait valide qu'à court terme, et qu'un petit siècle plus tard,
"Dieu" reviendrait ; un Dieu assez fétide, au carrefour de toutes les névroses
métaphysiques postmodernes.
diegel
2009-12-07 21:51:25 UTC
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Nitche ne prévit rien, pas même sa fin de vie dans un asile de dingues pour
seule récompense de son surmenage intellectuel.
L'érosion lente du charlatanisme religieux sous les coups du rationalisme
socialiste ne doit strictement rien à ce dingue qui, de surcroît n'était pas
athée, la Révolution Socialiste Française évidemment, mais citons par
exemples, en 1880, le - Ni dieu ni maître, d'Auguste Blanqui, ou l'opium du
peuple de Karl Marx, en 1844, non obstant le progrès de la diffusion du
savoir, contre laquelle d'ailleurs ce crétin de Nitche était hostile.
Seul le socialisme peut fonctionner sans la moindre référence à la religion
alors que la concurrence se squelette du religieux et/ou l'utilise pour
calmer la souffrance - des créatures qu'elle est censée opprimer -, pour
préciser le dire de Karl Marx.

"Sans être un militant d'aucune religion, je pense que l'on peut reconnaître
la religion comme une source d'apaisement utile au fonctionnement de la
République."
(Nicolas Sarkozy / La République, les religions, l'espérance / p. 157)

Ah oui, la croyance n'est plus ce qu'elle était ? Seriez-vous à le regretter
? Encore faudrait-il la localiser en pays passablement socialisés. Qu'elle
continue de pourrir par la tête ...

La vésanie religieuse et ses débilités morales sont loin d'être éliminées à
l'échelle de l'humanité mais son affaiblissement doit beaucoup à la
rationalité socialiste, qui, inexorablement, et elle seule, en viendra à
bout.

La séparation, film de Christian Vincent, co-scénarisé avec Dan Franck, le
couple Isabelle Huppert et Daniel Auteuil, 1994, est d'une précision
psychologique admirable, rarement atteinte. J'ai senti un peu mon coeur
battre, c'est beaucoup de distance gagnée, en ai-je déduis. Bravo et encore
bravo pour compenser le succès limité de cette oeuvre importante.
Zarak
2009-12-09 18:43:53 UTC
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à ce dingue qui, de surcroît n'était pas athée
Ah, et il était quoi, le grand pourfendeur du christianisme et premier
vrai prophète de l'athéisme européen ? Bouddhiste islamo-protestant ?

Votre humour est, et restera, un plaisir de fin gourmet.
diegel
2009-12-10 00:06:44 UTC
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Il n'a jamais déplu à l'Eglise d'accueillir en ses calculs la racaille des
droites extrêmes, qu'elles aillent des crapauds de bénitiers jusqu'aux
athéistes nazio-darwiniens.
Quelques sorbonnards vermoulus, un Sollers ou quelques misérables profs de
philo pouffés en plateau de téloche, soufflent encore dans le ballon Nitche
pour lui donner les dimensions d'une montgolfière ...
Que vouliez-vous qu'un agité d'extrême-droite confiné en son cagibi puis
bientôt en asile de dingues nommé Nitche, roquet anti-clérical même pas
agnostique mais socialistophobe maladif, puis admis en nazitude, fît comme
gêne à l'Eglise alors qu'au même instant un Marx tonitruant, issu de la
rationalité des Lumières et de la longue histoire athéiste, l'accusait
d'être l'opium du peuple ? L'Eglise a toujours vu rouge, toutes les
religions ont toujours vu rouge à la moindre velléité de rationalité
socialiste.
Le "bolchevisme" ébranlât l'Eglise qui en retour lui vouât une haine
viscérale, et criminelle sur tous les continents, une croisade formidable ne
reculant devant aucune ignominie, aucune promiscuité, jusqu'à ce que la
mondialisation de la saloperie épicière lui fît croire que sa - bête
immonde - fût morte.
Pour l'histoire de l'athéisme, un petit tour chez l'Onfray ferait le plus
grand bien à votre inculture, ses conférences relatives à ce sujet sont
disponibles dans toutes les bonnes librairies en coffret de disque.
Voir aussi la définition de l'athéisme de diegel en ses archives.
Zarak
2009-12-11 17:52:10 UTC
Permalink
Post by diegel
Il n'a jamais déplu à l'Eglise d'accueillir en ses calculs la racaille des
droites extrêmes, qu'elles aillent des crapauds de bénitiers jusqu'aux
athéistes nazio-darwiniens.
Quelques sorbonnards vermoulus, un Sollers ou quelques misérables profs de
philo pouffés en plateau de téloche, soufflent encore dans le ballon Nitche
pour lui donner les dimensions d'une montgolfière ...
Nietzche n'a besoin ni de Sollers, ni de quelque prof que ce soit pour atteindre
sa dimension et demeurer le philosophe le plus lu au monde avec Kant et Platon.
Post by diegel
Pour l'histoire de l'athéisme, un petit tour chez l'Onfray ferait le plus
grand bien à votre inculture, ses conférences relatives à ce sujet sont
disponibles dans toutes les bonnes librairies en coffret de disque.
Les confs du petit diseur d'amphi monocorde et dogmatique sont votre nouvelle
autorité culturelle ? Eh bé, big respect !
diegel
2009-12-11 18:02:43 UTC
Permalink
Votre Nitche a besoin d'un bas peuple de crétins diplômés pour ne point trop
le paraître.
Et encore cela ne suffit pas. Il faudrait obliger les élèves à réciter du
Nitche dans toutes les sections et tout au long de leur scolarité ! Mais
l'inconvénient de cette sollicitude ne serait-il pas de faire revenir la
peste brune ? ...

J'utilise le petit prof Onfray à ce qu'il peut servir, son travail sur
l'histoire oubliée et cachée de l'athéisme est de qualité.
Zarak
2009-12-11 18:27:19 UTC
Permalink
Post by diegel
Votre Nitche a besoin d'un bas peuple de crétins diplômés pour ne point trop
le paraître.
Il y a une chose vraie dans ce que vous dites, hélas, c'est que Nietzsche tombe
souvent entre les mains de crétins notoires qui pensent l'avoir lu et compris pour
avoir glané 2-3 aphorismes ici et là et récupéré puis déformé que ce qui contentait
directement leurs propres petits intérêts, quelle que fussent leur nature.

La rançon d'être devenu "culte"...
diegel
2009-12-11 21:06:01 UTC
Permalink
Le seul crétin qui voue encore un culte à votre Nitche est Sollers Philipe,
écrivain en fin de vie mais encore très mal connu en Andorre.

Je suis le seul à avoir produit un florilège des crétineries de Nitche. Ce
document est indispensable pour comprendre ce dingue à la sexualité douteuse
et pour fermer instantanément le clapet à tous les petits profs de philo qui
enseignent, via l'étude de cette graine de nazi, la haine de l'humanisme et
du rationnel-socialisme du bon père diegel.
Zarak
2009-12-11 21:49:20 UTC
Permalink
Post by diegel
Le seul crétin qui voue encore un culte à votre Nitche est Sollers Philipe,
écrivain en fin de vie mais encore très mal connu en Andorre.
Ca commence bien, "contradicto in adjecto" : on ne voue pas de "culte" à
Nietzsche, le philosophe n'ayant eu cesse d'appeller à la méfiance vis-à-vis
des idoles et autres statues (et il savait trop bien qu'il serait un jour dans le lot).
Post by diegel
Je suis le seul à avoir produit un florilège des crétineries de Nitche. Ce
document est indispensable pour comprendre ce dingue à la sexualité douteuse
et pour fermer instantanément le clapet à tous les petits profs de philo qui
enseignent, via l'étude de cette graine de nazi, la haine de l'humanisme et
du rationnel-socialisme du bon père diegel.
Un humanisme assez étrange d'ailleurs :
- "Le nombre d'êtres humains qui ne servent strictement à rien d'autre qu'à en
augmenter le nombre devient de plus en plus extravagant."
- "J'ai décidé d'être intelligent, pour emmerder le monde !"
- "Les gens médiocres ont besoin d'un environnement médiocre."

Si s'agit d'humanisme incendiaire, je crains que Nietzsche vous ait précédé
dans cette voie : c'est toujours par amour de l'homme qu'on profére les paroles
les plus dures et les plus amères. Et Nietzsche est bien plus humaniste que vous...
diegel
2009-12-11 22:20:09 UTC
Permalink
Rien d'étonnant. Comment un crétin tel que Nitche pouvait-il prévoir qu'il
serait photographié à côté du plus grand boucher de l'histoire, Hitler,
formidable admirateur de la prometteuse graine de nazi qu'il fut ? Et qu'il
finirait sa funeste postérité dans un bouquin idolâtre d'un plumitif avachi
à La Closerie des Lilas ?

Le bon père diegel est le juste génie du rationnel-socialisme.
Rien à voir avoir un socialistophobe viscéral tel que fut votre Nitche, une
misérable émanation du darwinisme social, très en vogue à son époque, dont
il s'est abreuvé sans même citer ses sources !

diegel est profondément dans l'humanisme : s'il secoue durement son
semblable, c'est pour son bien, pas pour l'exterminer, le tenir en esclavage
ou sous domination des "forts" dont il serait.
Zarak
2009-12-12 08:09:54 UTC
Permalink
Post by diegel
Rien d'étonnant. Comment un crétin tel que Nitche pouvait-il prévoir qu'il
serait photographié à côté du plus grand boucher de l'histoire, Hitler,
formidable admirateur de la prometteuse graine de nazi qu'il fut ? Et qu'il
finirait sa funeste postérité dans un bouquin idolâtre d'un plumitif avachi
à La Closerie des Lilas ?
Le bon père diegel est le juste génie du rationnel-socialisme.
Rien à voir avoir un socialistophobe viscéral tel que fut votre Nitche, une
misérable émanation du darwinisme social, très en vogue à son époque, dont
il s'est abreuvé sans même citer ses sources !
Vous racontez n'importe quoi, puisque vous n'avez rien lu et parlez dans le vide.
Non seulement Nietzsche a toujours cité Darwin, mais ce ne fut jamais que dans
un esprit très critique, se situant à l'exact opposé de ses conceptions évolutionnistes.
Preuve que nous n'avez vraiment rien pigé.

Chez Darwin, le "fort" l'emporte sur le "faible" ; chez Nietzsche, c'est l'inverse : le
faible - plus nombreux, plus con, et donc qui ose tout (Audiard) - l'emporte sur le
fort. Encore une fois, l'éternel exemple du nazisme : une multitude de faibles au sens
nietzschéen, pétris de sentiments d'esclaves (grégarisme, haine, ressentiment, revanche
sociale et politique, etc) s'agglomérant pour prendre le pouvoir et détruire la civilisation.

Un vrai/faux "dialogus" d'un petit niveau, qui devrait vous être accessible :
http://www.dialogus2.org/NIET/nietzschecontredarwin.html

Extrait d'un livre, plus précis et plus éclairant sur le sujet :
http://minilien.com/?g7q3PyHHnb
diegel
2009-12-12 15:49:34 UTC
Permalink
Cela va très simple.

Vous me donnez à lire : Le déchet, le rebut, le rien - de Jean-Paul Beaune.
L'absorption de matière vivante par un vivant est un acte de survie ou
d'équilibre, pas de puissance. Manger ne l'augmente pas, hors du stade de la
croissance ou d'un dérèglement de la faim, mais le maintient. L'animal
adapte souvent sa reproduction à la quantité de nourriture disponible. Le
principe de camouflage adopté par nombre d'animaux végétariens est un
principe de survie. L'augmentation d'une espèce ne résulte que du confort de
chacun de ses membres. La volonté de puissance n'est qu'un moteur dans la
cervelle à Nitche ou autres sociopathes. J'ajoute, puisque vous frissonnez
aux arguments d'autorité, que si la curieuse vision de Nitche sur l'oeuvre
de Darwin avait eu la moindre pertinence, cela se saurait inscrit dans le
savoir scientifique, ce qui n'est manifestement pas le cas. Nitche voit un
être se débattre dans les difficultés, il survit, il y voit un être
dégénéré. Il voit un être fort qui domine son environnement et s'augmente,
de quoi ?, il y un sur-être animé du don de la volonté de puissance, que
l'autre, le survivant, n'aurait pas. Comme le dit l'auteur de ce bouquin à
deux balles, l'humanité pour Nitche n'est pas en soi un objet de respect,
les forts, les faibles, etc., la maladive litanie nitchéenne est bien
connue, qui a fait de lui une graine de nazi. J'observe, pour nous donner un
peu d'air philosophique, qu'il n'y a dans son charabia hallucinant issu de
son esprit enfantin et jaloux (de Darwin notamment), pas le moindre
commencement d'une construction conceptuelle, la démonstration ne fait pas
partie de sa manière de penser. J'ose dire qu'intellectuellement, Nitche
pense au niveau d'un professeur de racisme pensionné par les nazis,
enfilages d'énormités. D'ailleurs, suivant ses élucubrations, on pourrait
déduire que le juif, dont on dit qu'il fut le protecteur contre
l'antisémitisme ambiant, (mais voir mon florilège des nitchiures de Nitche)
est en état permanent de survie, qu'il est faible et faire l'hypothèse
vraisemblable, que né plus tard mais à bêtise conservée, Nitche aurait une
tête de proue de l'antisémitisme nazi. A moins que les nazis ne l'aient
liquidé en tant que malade mental à l'heure où ces derniers se piquaient, à
l'image des eugénistes qui pullulaient partout, de purifier l'espèce ! Je
l'ai déjà dit, Nitche a baigné dans les idées de son temps, les mauvaises,
et par une prétention irrépressible, a tenté de se distinguer en pondant une
variante de l'anti-humanisme. Les nazis, les philosophes nazis, dans les
années 20 ont considéré l'oeuvre de Nitche comme étant romantique, exempte
de toute rigueur, sans qualité exploitable. On doit à un philosophe nazi,
après que ce dernier en eut fait une lecture plus ... courageuse, le fait de
l'avoir intégré dans la nazitude. Et c'est ainsi qu'Hitler se fit
photographier à côté de son buste; les deux bavures étaient mariées pour le
pire !

Par ailleurs, je confirme que Nitche s'adosse très peu à la pensée
darwinienne, il n'est quasiment jamais cité alors que ses pensouillages n'en
sont qu'émanations, fétides, nous en convenons.

Enfin, on sait ce que je pense de Darwin, cette graine de Galton. Nitche est
un social-darwinien assez tordu, parce qu'il ne peut être un
social-nitchéen, être qui n'existe et ne peut exister.

Et ne dite pas n'importe quoi ! Nitche menace de la puissance du faible, ce
dégénérateur de civilisation, selon lui. Il n'écrit pas une prétendue
fatalité du monde, il invente le sur-homme de la ... survie des forts ? Et
ne dites pas n'importe quoi, nous avons lu Nitche et nous avons vu comment
il a pu brouillonner sa société idéale. Brouillon pace qu'en sa sottise, il
fut incapable de la moindre construction intellectuelle.

Ce qu'il faut savoir, c'est que Nitche est un imbécile et qu'il peut sembler
difficile de critiquer cet imbécile tant le cours de sa pensée s'avère
chaotique, exemptes des plus élémentaires rigueurs, émaillée de grossières
contradictions. En cela, je ne vois pas ce qu'un type pareil fait dans
l'enseignement de la philosophie si ce n'est pour permettre à des esprits
fragiles de ... survivre dans le fantasme de puissance et de supporter, dans
la dignité, la dureté de la sélection sexuelle ! Car Nitche était aussi un
sexiste maladif, quasi zemmourien !

Pour ma part, j'invite à la lecture de mon florilège des nitchiures de
Nitche, une compilation d'énormités au travers de - toute - son oeuvre.
Cette compilation suffit largement, nous semble t-il, à disqualifier
rapidement ce pensouilleur et je conseille de l'opposer à tout nitchéen;
elle vous assurera sur lui une domination certaine; pérenne et sans grands
efforts !

Enfin², encore un mot. Ce florilège est inédit. Oui, il est assez étonnant
que l'idée d'une simple et objective compilation critique de Nitche ne soit
venue au cortex de personne. Doit-on déplorer l'existence d'un - nitchvana -
bien protégé par un basse secte d'intellectuels - dégénérés ? Lui mais bien
d'autres, Foucault le musulman, Bachelard le pétainiste ou le Sartre du
chien anti-communiste, l'Heidegger et son nazisme erreur de jeunesse, la
philosophie se discute le plus souvent sur les gradins d'un stade de foot !
diegel
2009-12-12 16:00:37 UTC
Permalink
Cela va très simple.

Vous me donnez à lire : Le déchet, le rebut, le rien - de Jean-Paul Beaune.
L'absorption de matière vivante par un vivant est un acte de survie ou
d'équilibre, pas de puissance. Manger ne l'augmente pas, hors du stade de la
croissance ou d'un dérèglement de la faim, mais le maintient. L'animal
adapte souvent sa reproduction à la quantité de nourriture disponible. Le
principe de camouflage adopté par nombre d'animaux végétariens est un
principe de survie. L'augmentation d'une espèce ne résulte que du confort de
chacun de ses membres. La volonté de puissance n'est qu'un moteur dans la
cervelle à Nitche ou autres sociopathes. J'ajoute, puisque vous frissonnez
aux arguments d'autorité, que si la curieuse vision de Nitche sur l'oeuvre
de Darwin avait eu la moindre pertinence, elle se serait inscrite, même
partiellement, dans le
savoir scientifique, ce qui n'est manifestement pas le cas. Nitche voit un
être se débattre dans les difficultés, il survit, il y voit un être
dégénéré. Il voit un être fort qui domine son environnement et s'augmente,
de quoi ?, il y un sur-être animé du don de la volonté de puissance, que
l'autre, le survivant, n'aurait pas. Gros délire nitchéen ! Comme le dit
l'auteur de ce bouquin à
deux balles, l'humanité pour Nitche n'est pas en soi un objet de respect,
les forts, les faibles, etc., la maladive litanie nitchéenne est bien
connue, qui a fait de lui une graine de nazi. J'observe, pour nous donner un
peu d'air philosophique, qu'il n'y a dans son charabia hallucinant issu de
son esprit enfantin et jaloux (de Darwin notamment), pas le moindre
commencement d'une construction conceptuelle, la démonstration ne fait pas
partie de sa manière de penser. J'ose dire qu'intellectuellement, Nitche
pense au niveau d'un professeur de racisme pensionné par les nazis,
enfilages d'énormités. D'ailleurs, suivant ses élucubrations, on pourrait
déduire que le juif, dont on dit qu'il fut le protecteur contre
l'antisémitisme ambiant, (mais voir mon florilège des nitchiures de Nitche)
est en état permanent de survie, qu'il est faible et faire l'hypothèse
vraisemblable, que né plus tard mais à bêtise conservée, Nitche aurait été
une
tête de proue de l'antisémitisme nazi. A moins que les nazis ne l'aient
liquidé en tant que malade mental à l'heure où ces derniers se piquaient, à
l'image des eugénistes qui pullulaient partout, de purifier l'espèce ! Je
l'ai déjà dit, Nitche a baigné dans les idées de son temps, les mauvaises,
et par une prétention irrépressible, a tenté de se distinguer en pondant une
variante de l'anti-humanisme. Les nazis, les philosophes nazis, dans les
années 20 ont considéré l'oeuvre de Nitche comme étant romantique, exempte
de toute rigueur, sans qualité exploitable. On doit à un philosophe nazi,
après que ce dernier en eut fait une lecture plus ... pugnace, le fait de
l'avoir intégré dans la nazitude. Et c'est ainsi qu'Hitler se fit
photographier à côté de son buste; les deux bavures étaient mariées pour le
pire !

Par ailleurs, je confirme que Nitche s'adosse très peu à la pensée
darwinienne, il n'est quasiment jamais cité alors que ses pensouillages n'en
sont qu'émanations, fétides, nous en convenons.

Enfin, on sait ce que je pense de Darwin, cette graine de Galton. Nitche est
un social-darwinien assez tordu, parce qu'il ne peut être un
social-nitchéen, être qui n'existe et ne peut exister. Donc retour à sa
case - départ - Darwin.

Et ne dite pas n'importe quoi ! Nitche menace de la puissance du faible, ce
dégénérateur de civilisation, selon lui. Il n'écrit pas une prétendue
fatalité du monde, il invente le sur-homme de la ... survie des forts ? Et
ne dites pas n'importe quoi, nous avons lu Nitche et nous avons vu comment
il a pu brouillonner sa société idéale. Brouillon parce qu'en sa sottise, il
fut incapable de la moindre construction intellectuelle.

Ce qu'il faut savoir, c'est que Nitche est un imbécile et qu'il peut sembler
difficile de critiquer cet imbécile tant le cours de sa pensée s'avère
chaotique, exemptes des plus élémentaires rigueurs, émaillée de grossières
contradictions, comme chez les imbéciles. En cela, je ne vois pas ce qu'un
type pareil fait dans
l'enseignement de la philosophie si ce n'est pour permettre à des esprits
fragiles de ... survivre dans le fantasme de puissance et de supporter, dans
la dignité, la dureté de la sélection sexuelle ! Car Nitche était aussi un
sexiste maladif, quasi zemmourien !

Pour ma part, j'invite à la lecture de mon florilège des nitchiures de
Nitche, une compilation d'énormités au travers de - toute - son oeuvre.
Cette compilation suffit largement, nous semble t-il, à disqualifier
rapidement ce pensouilleur et je conseille de l'opposer à tout nitchéen;
elle vous assurera sur lui une domination certaine; pérenne et sans grands
efforts, ce qui n'est pas rien dans le cours de nos vies trépidantes !

Enfin², encore un mot. Ce florilège est inédit. Oui, il est assez étonnant
que l'idée d'une simple et objective compilation critique de Nitche ne soit
venue au cortex de personne. Doit-on déplorer l'existence d'un - nitchvana -
bien protégé par un basse secte d'intellectuels - dégénérés ? Lui mais bien
d'autres, Foucault le musulman, Bachelard le pétainiste ou le Sartre du
chien anti-communiste, l'Heidegger et son nazisme erreur de jeunesse, la
philosophie se discute le plus souvent sur les gradins d'un stade de foot !
Zarak
2009-12-14 12:02:45 UTC
Permalink
Post by diegel
si la curieuse vision de Nitche sur l'oeuvre
de Darwin avait eu la moindre pertinence, elle se serait inscrite, même
partiellement, dans le savoir scientifique, ce qui n'est manifestement pas
le cas.
Les scientifiques inscrivent du savoir scientifique, les philosophes du savoir
philosophique. Faut pas tout mélanger.
Post by diegel
Nitche voit un
être se débattre dans les difficultés, il survit, il y voit un être
dégénéré. Il voit un être fort qui domine son environnement et s'augmente,
de quoi ?, il y un sur-être animé du don de la volonté de puissance, que
l'autre, le survivant, n'aurait pas. Gros délire nitchéen ! Comme le dit
l'auteur de ce bouquin à
deux balles, l'humanité pour Nitche n'est pas en soi un objet de respect,
les forts, les faibles, etc., la maladive litanie nitchéenne est bien
connue, qui a fait de lui une graine de nazi. J'observe, pour nous donner un
peu d'air philosophique, qu'il n'y a dans son charabia hallucinant issu de
son esprit enfantin et jaloux (de Darwin notamment), pas le moindre
commencement d'une construction conceptuelle
Faut, Nietzsche a apporté des concepts et foule d'idées, mais qui relèvent
plus des valeurs et de la psychologie plutôt que de la philosophe au sens
kantien ou spinoziste. D'ailleurs, Nietzsche n'est absolument pas un philosophe
au sens classique du terme, c'est un artiste, un psychologue, un poète et un
prophète.
Post by diegel
Et c'est ainsi qu'Hitler se fit photographier à côté de son buste; les deux
bavures étaient mariées pour le pire !
Nietzsche n'est pas responsable du fait qu''Hitler, qu'il eût haï plus que n'importe
quel sous-être au monde (il haïssait déjà son beauf, pangermaniste fanatique
donc nazi avant l'heure, et il tombait malade à chaque fois qu'il recevait une lettre
d'admiration de sa part), se fit photographier aux côtés de son buste, buste que
d'ailleurs il aurait vomi, comme toutes les statues et autre idoles figées.

Hitler admirait aussi Beethoven et Goethe et beaucoup des plus grands de la
culture allemande, ça ne veut pas dire que ces derniers ont engendré le nazisme.
J'espère que vous êtes capable de comprendre cela ; un enfant de 6 ans peut le
faire.
diegel
2009-12-14 15:31:53 UTC
Permalink
Non. Le philosophe amplie du savoir scientifique; il ne peut pas juger du
monde, de ce qu'il y a au monde sans en connaître les structures
scientifiquement reconnues. Nitche n'est pas connu pour sa rigueur
intellectuelle, pour son érudition, c'est un nul en sciences, et il s'est
ridiculisé en s'imaginant pouvoir opposer ses élucubrations aux acquis
darwiniens.

Non. Nitche est une nullité intellectuelle sans aucune imagination. Il ne
pouvait former du concept et amplier les existants d'une manière féconde.

Oui. Nitche est une nullité philosophique, un mauvais poète, un artiste
raté, un psychologue de Psycho Magazine doublé d'une sorte de Zemmour ...
On peut donc se poser la question de la santé mentale des énergumènes qui
échinent à le faire passer pour une pointure.

Non. Nitche n'est pas un prophète. Si nous lui reconnaissons le statut de -
graine de nazi, nous ne lui reconnaissons pas l'éminence d'avoir été la
seule à son époque. On pourrait même l'accuser de plagiat ...

Non. Notre savoir psychologique nous permet d'affirmer qu'il aurait été un
intellectuel zélé du nazisme.

Non. Nitche a été finalement admis en nazitude par le corps philosophique
allemand. Sa récompense posthume est d'avoir été photographié à côté
d'Hitler, non pour sa contribution à la culture allemande, comme un
Beethoven ou un Goethe, mais comme contributeur à la culture allemande
nazie. Bref, les nazis ont excusé sa complaisance envers les juifs, ce qui
n'est pas rien, et ce qui témoigne du caractère grandiose et incontournable
de son combat contre le sous-homme auquel les nazis ne pouvaient ne pas être
très sensibles.

Non.

Non.

Non.

Non.
Zarak
2009-12-14 16:16:29 UTC
Permalink
Non. Notre savoir psychologique nous permet d'affirmer qu'il aurait t un
intellectuel z l du nazisme.
Comment quelqu'un qui haïssait tout nationalisme, tout fanatisme et
toute
violence physique a-t-il pu engendrer la nazisme ? Je doute que vous
nous
éclairiez sur ce paradoxe.

Encore une fois, Nietzsche n'est pas responsable d'avoir été récupéré,
mal
lu, mal compris et de ce fait détourné par une bande d'abrutis
psychopathes.
diegel
2009-12-14 18:57:33 UTC
Permalink
Non. Céline n'a jamais tué une mouche, il se bramait pacifiste et pas de
tout nationaliste. Mais tandis qu'il gênait des officiers nazis par des
propos d'une haine antisémite inhabituelle, ces derniers auraient dû le
prendre au mot, soit l'envoyer s'amuser en camp d'extermination. Notre
expertise psychologique nous permet d'affirmer qu'il y aurait été. De la
même manière, Nitche, né plus tard mais à crétinerie constante, aurait cirer
les bottes d'Hitler, l'homme providentielle redonnant à une Allemagne
humiliée la place que son sur-homme, germanique ce qui ne gâte rien, doit
occuper L'organisation sociale que se brouillonnait Nitche en son cervelet
était d'une grande violence. On peut dire des choses générales d'une grande
violence et d'une grande injustice en évitant strictement d'en évoquer les
détails d'application.

Dans un de ces derniers aphorismes, diegel disait la responsabilité entière
de l'intellectuel face à ses propos. Un intellectuel digne de ce nom ne peut
pas ne pas être mal compris, surtout par des intellectuels. Soit Nitche
était un irresponsable, dans le sens de l'idiotie, soit il était
responsable.

Nitche n'a pas été récupéré, il a été - bien - lu. Mon florilège des
nitchiures de Nitche est une bonne lecture de Nitche, nécessaire et
suffisante.

Je redis qu'on ne peut pas évacuer la question nazie en assimilant le
nazisme à une beuverie sanguinaire d'une bande de brutes épaisses. Hitler
fut le terminus, souhaitons-le, d'une idéologie ambiante qu'il a bien
étudié, qu'il n'a pas inventé, et qu'il a poussé à ses limites.
Zarak
2009-12-14 16:41:11 UTC
Permalink
Non. Notre savoir psychologique nous permet d'affirmer qu'il aurait t un
intellectuel z l du nazisme.
Comment quelqu'un qui haïssait tout nationalisme, tout fanatisme et
toute violence physique a-t-il pu engendrer la nazisme ? Je doute que
vous nous éclairiez sur ce paradoxe.

Encore une fois, Nietzsche n'est pas responsable d'avoir été récupéré,
mal lu, mal compris et de ce fait détourné par une bande d'abrutis psychopathes.
diegel
2009-12-14 19:00:03 UTC
Permalink
Non. Céline n'a jamais tué une mouche, il se bramait pacifiste et pas du
tout nationaliste. Mais tandis qu'il gênait des officiers nazis par des
propos d'une haine antisémite inhabituelle, ces derniers auraient dû le
prendre au mot, soit l'envoyer s'amuser en camp d'extermination. Notre
expertise psychologique nous permet d'affirmer qu'il y aurait été. De la
même manière, Nitche, né plus tard mais à crétinerie constante, aurait cirer
les bottes d'Hitler, l'homme providentielle redonnant à une Allemagne
humiliée la place que son sur-homme, germanique ce qui ne gâte rien, doit
occuper L'organisation sociale que se brouillonnait Nitche en son cervelet
était d'une grande violence. On peut dire des choses générales d'une grande
violence et d'une grande injustice en évitant strictement d'en évoquer les
détails d'application.

Dans un de ces derniers aphorismes, diegel disait la responsabilité entière
de l'intellectuel face à ses propos. Un intellectuel digne de ce nom ne peut
pas ne pas être mal compris, surtout par des intellectuels. Soit Nitche
était un irresponsable, dans le sens de l'idiotie, soit il était
responsable.

Nitche n'a pas été récupéré, il a été - bien - lu. Mon florilège des
nitchiures de Nitche est une bonne lecture de Nitche, nécessaire et
suffisante.

Je redis qu'on ne peut pas évacuer la question nazie en assimilant le
nazisme à une beuverie sanguinaire d'une bande de brutes épaisses. Hitler
fut le terminus, souhaitons-le, d'une idéologie ambiante qu'il a bien
étudié, qu'il n'a pas inventé, et qu'il a poussé à ses limites.
Zarak
2009-12-15 16:59:05 UTC
Permalink
Post by diegel
Non. Céline n'a jamais tué une mouche, il se bramait pacifiste et pas du
tout nationaliste.
Sauf qu'il existe une différence entre un écrivain qui a connu le nazisme de
son vivant et y a officiellement et pleinement adhéré, et un philosophe mort
30 ans avant le nazisme, récupéré et détourné. Dans le premier cas, c'est ce
que l'on appelle un fait ; dans le deuxième, une opinion.

Mais vous avez le droit d'exprimer votre opinion, bien entendu.
diegel
2009-12-16 09:17:28 UTC
Permalink
Non. Nos experts psychologiques, maintes fois confirmés dans leurs
capacités, m'affirment collégialement et à l'unanimité, une fois de plus,
que Nitche aurait été de la plus pure nazitude.

Non. Nitche n'a pas été "détourné" par le corps philosophique nazi, il en a
été finalement - bien - lu.
On doit donc aux nazis d'avoir sauvé la graine de nazi Nitche.

Affirmatif. diegel l'a bien lu. Il en a produit un florilège des nitchiures
de Nitche, qui est du concentré de Nitche, nécessaire et suffisant pour
émettre sur lui un avis aussi impartial que parfaitement inattaquable.
diegel
2009-12-12 16:05:17 UTC
Permalink
D'Alain Badiou, j'en ai lu - Le siècle.

« [Blabla] ... cette ruine de la langue, le mépris pour toute nomination
inventive et rigoureuse, le règne de la langue facile et corrompue, celle du
journalisme. »
Jean-Edern Hallier parlait souvent de sous-culture journalistique.
A laquelle on doit fortement ajouter la sous-culture d'entreprise.
Il arrive à Badiou de dire des choses intelligentes, ce qui le rend
éminemment supérieur à un Finkielkraut.

Comment une émotion s'est imprégnée des odeurs, des sensations et des
couleurs de ses instants, comment de ces couleurs, de ces sensations et de
ces odeurs resurgit cette émotion.

Voyage au Congo - André Gide : http://fr.wikipedia.org/wiki/Voyage_au_Congo.
La réaction outrée de la Droite, celle qui voulait, il y a peu, toujours
aussi indécrottablement stupide, imposer aux esprits, par la loi !, la
"colonisation positive".

Chansons madécasses - Maurice Ravel :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Chansons_mad%C3%A9casses. Je ne sais pas
encore, ça télécharge.
Il refusa la légion d'honneur.
Une légion d'honneur pour tous les braves qui refusent la légion d'honneur ?

« Mandelstam est aujourdhui est reconnu comme un des plus grands poètes du
siècle. », matraque Badiou. Mais ... reconnu par qui, au faît ? Quel
cachottier, ce Badiou !

Alain Badiou réinvente du diegel, son bouquin sur l'amour, c'est bien, je ne
l'ai pas lu, j'admets, le compliment me dispensera de le lire.
diegel a considéré que le mariage est ce qu'un amour assure comme
affirmation de développement durable.
Une vile populasse s'interroge, se rassure au divorce-minute, se pacse.
J'invite, pour ne pas me radoter davantage, à vous instruire
quelque part sur ce thème dans les diegeliennes archives.

Je regarde - Monsieur Jo.

Espérons que le Nagui de France 2 ne nous menace pas encore de montrer sa
bite pendant le téléthon !

J'ai l'impression que ce livre va briller pour ses références plutôt que par
ses développements.

J'écoute Helmut Fritz, je gère les attaques en mauvais goût qui m'assaille.


Il n'y a pas assez de musulmans en France. C'est la raison pour laquelle il
a paru souhaitable de financer des radios musulmanes avec le denier public,
il s'agit de la radio France-Maghreb qui incite régulièrement à la
bouffissure religieuse, plus sûrement encore que France-Culture qui dit la
messe tous les dimanches !



Claudel, ce crétin considéré, anti-humaniste. C'est fou le nombre
d'imbéciles qui ont engouffrés leur talent dans la haine de l'humanité .
Mais y avait t-il meilleur moyen pour eux de se montrer supérieur aux autres
que celui qui consiste à pisser sur l'altérité, la fraternité et le progrès
des âmes quitte à se montrer aussi misérable, voire plus misérable, qu'une
masse enlaidie ?



Là où Badiou enfonce des évidences, bonnes à diffuser, c'est quand il dit ce
que les pays riches pourraient, très facilement, abolir la pauvreté dans les
pays de misère. Le discours sur les gens qui crèvent de fin, de maladie et
rampent dans la pauvreté n'a plus cours depuis que les crisounettes des
gros-pleins-de-soupes occidentaux leur ont fait passé l'envie d'aider le
tiers-monde, jusqu'à sortir ce vocable de leur vocabulaire, mais à la plus
grande satisfaction des abbés verts, qui ont raflés tout le marché de
l'inquiétude.

L'Occident est un monstre d'égoïsme, le seul exemple de lui qu'il faut
assurément ne pas suivre.



Badiou patauge lamentablement dans son Nietzsche, son Heidegger et son
Deleuze, Brecht et toute une collection d'énergumènes choisie dans la
volière du XX ième siècle, énergumènes dont il n'a pas encore compris
l'irrationalité,
l'effondrement rationnel, disons la crétinerie pour ne pas être excessif.
Badiou, contrairement aux airs qu'il se donne, est un type du réchauffé, du
resucée, un prétentieux formaté aux pensouillages académisés. Franchement,
ne pas voir plus loin, mais surtout autrement que ces philosophards
sus-cités relève de la finkielkrauterie béhachélisée !



Franchement, pour moi, un juif est un type en état de communautarisme
historico-religieux, tout simplement, tout minablement. Je me demande
vraiment comment on a pu en arriver là, faire de la judéité, un concept, de
l'antisémitisme, le mal absolu.



Tous ces nuls, dont Nietzsche, et donc Badiou, son toutou ?, n'ont jamais
compris l'importance gigantesque de l'éducation des esprits. Je n'ai jamais
entendu parler d'une guerre pour l'éducation. Une guerre qui pourrait bien
être la dernière, n'est-oui ? La Révolution, c'est l'Education !



En quoi la morale a quelque chose à voir avec le religieux ? Toute la
pensée du XX ième siècle, dans cette incapacité à rationaliser la morale, a
préféré jeter la morale avec la vinasse du bénitier. Même Auschwitz n'a pu
mettre un terme à la mode de l'amoralité qui se prolonge jusqu'à aujourdhui
jusqu'à donner à certains esprits fragilisés l'idée d'un retour providentiel
à la morale religieuse, pour en avoir ne serait-ce qu'une. On en déduit
qu'on
attend le génie qui saura rationaliser la morale, laquelle morale n'a jamais
cru en la réalité physique et théorique de l'amoralité.



La discipline fait la force principale des armées et l'incompétence son plus
grand secret.



« Comment le siècle a t-il réorganisé les trois grands signifiants de la
Révolution française : liberté, égalité, fraternité ? La thèse aujourd'hui
dominante, sous le nom imposé de « démocratie », est que la seule chose qui
compte est la liberté. Liberté, du reste, si affectée par le mépris où sont
tenus les deux autres vocables (l'égalité est utopique et anti-naturelle, la
fraternité mène au despotisme du « nous ») qu'elle devient purement
juridique, ou régulatrice : « liberté » de faire tous les mêmes choses, sous
les mêmes règles. » Je dis : affirmatif. Il arrive à Badiou de dire des
choses intéressantes, assez par hasard d'ailleurs, ce qui le rend très
supérieur à un Lévy, beaucoup moins chanceux.



Mao, Machin, blabla ...



Brecht - scène 6 de La Décision, si j'ai le temps, gratos, dans une
librairie.



Anton Webern, je télécharge.



Nietzsche prétendait avoir tué dieu, ce que Badiou, gonflant le torse, lui
ergote. Car Badiou, lui, affirme avoir tué l'homme, avoir terminé le boulot
de son très cher incompétent ! Ainsi la philosophie semble être une drôle de
ménagerie . Admis aussi en ménagerie, Sartre, avec son « L'homme est une
passion inutile ».



L'avenir radieux doit extirper de son sein les communistes nihilistes, ces
infectes pourritures de l'esprit !



« Si même je dois scandaliser, je dois dire ma conviction que cette
domestication, sous-jacente à l'humanisme sans programme qu'on nous inflige,
est déjà à l'ouvre dans la promotion, comme spectacle et comme norme, du
corps victimaire. » Hein ? L'intuition humaniste serait mauvaise et la
théorie humaniste, bonne ? Il est abruti ou quoi, Badiou ? Et qu'attend
t-il, le Badiou, pour nous pondre une théorie humaniste ? Parce qu'avec son
L'Etre et l'Evènement, une sartrose de plus dans l'être et le néant
ontologiques, oui ?



Un nazillon et un nazi occupe la scène philosophique mondiale, Nietzsche et
Heidegger . Tous les philosophards, tous les enseignants sont à la brosse à
reluire, tous les commentent, tous s'y ridiculisent, la majorité, puisque la
Droite, elle, ne pense pas, sont de Gauche !



Quoi Sartre et Foucault ? Zen avez pas marre de puiser toujours dans les
mêmes puits sans - fond ?

Ah, l'Althusser, ce dingue assassin normal supérieur, il ne manquait plus
que lui, vaut mieux en rire ...



« Pourquoi nous ne sommes pas nietzschéens ? » N'empêche, j'ai la réponse,
contrairement à Badiou et à Finkielkraut ou autres Sollers, j'ai osé publier
le florilège des énormités de Nitche et proposer qu'on l'admette au
patrimoine mondial de la bêtise.



Badiou frémit d'horreur à un « humanisme animal où l'homme n'existerait que
comme digne de pitié » !

Quel crétin, ce Badiou ! Et qu'est-ce qu'il a contre la pitié, le concept
de - pitié, alors qu'il ne sait comment esquisser l'homme digne d'admiration
?

C'est le même type qui pleurnichait, certes furtivement, voir ci-avant, sur
les énormes disparités entre pays riches et pauvres ...



Bordel de ton esprit, vieux Badiou, rien d'autres à penser que l'humanisme
en tant qu'humanisme animal, qu'à part cela je n'ai rien d'autres à vous
présenter ? A la curée contre l'humanisme et les droits de l'homme, les
infâmes finitudes, les dégradantes répétitions, tu suces du Zemmour ou quoi,
Badiou le communiste sorbonnard ?

Alors, mon conseil, laisse tomber ton "in-humanisme". Tu n'as aucunement
l'étoffe d'un philosophe, et comme tu en es réduit à finkielkrauter du
nitche, à finkielkrauter de l'actu, le mieux serait que tu la fermes dans
une retraite peu méritée d'ailleurs.



C'est comme ça et pas autrement.



Décidément, nous ne lirons plus que du diegel.
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